Mimi la critique #1 :

Derrière ce nom d’article ô combien navrant, se trouve une rubrique où vous trouverez les comics dont je ne parlerais pas dans l’oeil soit parce que je m’exprime sur un seul numéro, soit parce que un bout de l’oeuvre à déjà été aborder dans l’oeil (comme ici pour action comics).

En V.O :
Le numéro 1 de Dial h: série que je ne connaissais pas et que je découvre avec un grand plaisir. Le concept de cabine téléphonique peut amener de jolies choses et de jolies personnages si bien exploités. Le personnage principal est définit sans être pour l’instant extrêmement creuser. Les deux « héros » présent dans le numéro sont à l’opposé l’un de l’autre et arrive à être intéressant tout aussi bien au niveau de leurs caractères qu’au niveau de leurs pouvoirs. L’ennemi du run est déjà définit ce qui permet de se projeter facilement dans l’avenir. Graphiquement ça tient la route et c’est même magnifique par moment (mention spéciale à la fumée). Curieux de voir la suite de ce qui est une bonne surprise de ce new 52.

Action comics #9 : Alors celui-là je l’ai lu avec du retard (faute à l’approvisionnement). Ce que je peux en dire c’est que la première histoire (celle de Morrison) est sympathique mais  pas assez exploité. En effet, certaines zones mériteraient d’être un peu plus creuser pour pouvoir mieux apprécier ce superman (notamment son accession au pouvoir et les « robots présidents » et pourquoi Batman lui n’a pas l’air d’être différent). Dans l’ensemble c’est pas fou ni mauvais, c’est juste moyen. La deuxième histoire par contre est elle une catastrophe, moche, sans intérêt et avec une forte impression de déjà-vu. Du coup numéro bof dans son ensemble, si c’est ce Sup’ qui est utilisé pour le grand projet de multiverse j’espère qu’il sera plus creuser.

En V.F :

Tony Chu (Chew) tome 4 :

Notre inspecteur continue ces enquêtes et le délire général aussi. On découvre un peu plus sa famille dans ce numéro et notamment sa soeur ainsi que le caractère de sa fille. C’est toujours aussi joli et aussi fun au niveau de l’écriture. On voit que le scénariste sait où il veut aller et il s’amuse avec les codes des séries policères. Mention spécial à l’arrivée (brève) de POYO, un moment pur WTF qui donne vraiment envie de lire le numéro spécial de POYO. C’est une série qui vaut le coup d’oeil vous passerez un bon moment.